Pas simple de trouver une cohérence dans ce groupement. Une simple idée : un fatras, une cohabitation touffue. La forêt vue de l’extérieur, frontalement, un petit téléobjectif pour compresser un peu les plans. La hiérarchie des espèces n’est pas établie, chacun accède à la lumière comme il peut, c’est divers, c’est riche. On essaie, derrière ces premiers plans de montrer, ou de suggérer la forêt, en fait, on tente de trouver une organisation, obsession du photographe, ou plus généralement du cerveau humain, remettre un peu d’ordre dans la turbulence du végétal.