Christian Bobin, dans son livre consacré à Pierre Soulages : « Le bois de pins, couvert de givre, vibre mieux qu’un clavecin. Le barbelé des barrières n’est qu’araignées blanches. Je traverse le calme furieux du mois de Janvier. Le givre est ma matière préférée, parce que ce n’est pas une matière, c’est de l’écriture. Le givre est une lumière captive… »